Hong-Kong

21 avril 2012

Arrivée en Chine par la "grande porte", en tout cas celle qui s'ouvre automatiquement et qui clignote de mille néons : Hong-Kong. De loin l'endroit le plus moderne depuis qu'on a quitté la France.

Depuis huit mois, on est fringué comme Santana, mais ça ne choque personne, vu qu'on a surtout croisé des hommes en sarong (à Bali), des coréennes en doudoune par 30° (à Auroville), ou des femmes en pyjama (au Vietnam). Mais ici, point de salut pour les tongs et les tee-shirts troués : c'est le royaume d'Agnès, Calvin, Louis et leurs copains. (NB : on restera quand même en tongs, on a un statut à tenir)

Et c'est surtout des points communs avec Paris : les gens qui courent partout, la pluie (ah, la pluie... non-stop les 7 premiers jours...), et les transports en commun. Mais là, on a trouvé une ligne plus sympa que celle de la Porte de Clignancourt : le tramway à deux étages qui traverse une bonne partie de l'île principale. Et c'est drôlement agréable de visiter Hong-Kong de cette manière.

ben oui, comme à Paris je vous dis

On ne loge pas directement sur Central, mais on est venu passer deux jours pour découvrir le coeur de la cité, et aussi pour voir Manu Gazo qui est de passage pour son boulot, et qu'on retrouve avec plaisir pour boire un coup dans un des bars ultra-bruyants du coin. Et, coup de bol, Boris (notre copain qui habite ici) a deux chambres réservées et payées à cette date dans un hôtel (pour des clients) qu'il n'utilise pas : il nous propose donc gentiment d'en profiter. Top cool !

On a donc pu découvrir ce "New-York asiatique", qui tourne un peu la tête au début, mais qui est également assez fascinant... Et puis, comme dans la nature, le décor varie tout le temps : les néons des buildings changent de couleurs !